Je suis allée à la rencontre des acteurs de l’entreprise Vendélice ce 30 août à Chaillé-Les-Marais en plein cœur du Marais poitevin, accompagnée d’Antoine Métais, maire de la commune.

Cette entreprise est dirigée par une femme Sandrine Bogers, petite-fille du créateur, qui a su s’entourer d’une équipe compétente pour développer le melon et la pastèque, et porte des projets de nouvelles variétés actuellement en test, que nous avons eu la chance de déguster : les melons « Piel de sapo » et « Crispy ».

Vendélice produit environ 4000 tonnes d’une vingtaine de variétés de melons sur deux sites de production, en Vendée et à Aguilas en Espagne, afin de répondre au mieux à la demande des clients et des consommateurs, en assurant une distribution commerciale sur plus de 6 mois dans l’année.

Elle est engagée pour une culture de melons et de pastèques de qualité en garantissant la sécurité alimentaire par la certification Global GAP, le respect environnemental par la mention HVE (Haute Valeur Environnementale), le goût par le Label Rouge en cours de validation, mais aussi engagée dans la démarche de RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise) et un travail pour le zéro résidu.

Cette année, Vendélice a subi 30 à 40% d’augmentation sur les coûts de production et la sécheresse a eu un impact sur le rendement.

Je ne manquerai pas de porter les différents sujets abordés qui peuvent entraver le développement de l’activité, à savoir les difficultés de recrutement saisonnier dues à une pénurie de logements et à la réforme de l’assurance chômage de 2021, rétablissant la durée d’affiliation à environ 6 mois.

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