Madame le maire Marlène Guillemand m’a reçue le jeudi 25 avril dans la mairie de Landeronde, accompagnée des adjoints Laurence Plessis (en charge du social, de l’économique et du tourisme), Martial Brianceau (urbanisme, voirie et aménagement) et Jean-Paul Henninot (vie scolaire et périscolaire).

Deux écoles sont présentes sur la commune. Du fait de leur situation aux deux extrémités de la commune et la nécessaire remise aux normes du restaurant scolaire de l’école privée, la municipalité a décidé de créer un restaurant scolaire annexe à proximité de l’école privée sur un terrain vendu 1 euro symbolique par l’OGEC.

La municipalité a racheté le local d’une supérette (fermée depuis mai 2018) pour y créer, en lien avec un porteur de projet, un magasin multi-services, comprenant une partie épicerie et une partie bar-tabac-presse-point poste.

Ces deux dernières réalisations font partie des derniers projets de la mandature avec la rénovation de la salle communale. Les travaux de rénovation énergétique et d’embellissement seront terminés avant la fin d’année.

La rénovation d’un terrain de tennis, construit en 1986, va également aboutir. 

Une Maison pour Tous (bibliothèque, salle de réunion), initialement prévue dans la mandature en cours, et la rénovation de la salle de tennis de table (ou la création d’une nouvelle salle) se profilent déjà dans les projets à venir.

L’ensemble de ces projets et réalisations s’inscrivent plus généralement dans la réflexion menée autour de la restructuration du centre-bourg. Le Sénat s’est emparé du sujet au travers d’une proposition de loi portant pacte national pour la revitalisation des centres-villes et centres-bourgs, dont plusieurs éléments ont été repris dans la loi PACTe.

Une MARPA (Maison d’Acceuil Rurale pour Personnes Âgées) de 24 studios a été inaugurée au cours de ce mandat. 

3 femmes médecin exercent sur la commune au sein d’un cabinet privé. 

Des discussions demeurent concernant la construction d’un local pour installer le cabinet d’infirmières et une auto-école.

Notre discussion s’achève sur un épineux problème de construction illégale dépourvue d’eau et d’électricité. Faute d’avoir une existence cadastrale, la construction ne peut être déclarée insalubre. Malgré un jugement favorable, l’expropriation et la destruction du bien ne sont pas suivies d’effet.

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