Sepro Group a reçu monsieur le Préfet de Région Claude d’Harcourt le 1er février en son siège de La Roche-sur-Yon. À l'invitation de monsieur le Préfet de la Vendée Benoît Brocart, j'ai eu le plaisir de visiter à nouveau ce fleuron vendéen de la robotique industrielle à l'échelle mondiale.

Après une présentation multimédia du groupe, le directeur général Jean-Michel Renaudeau nous a accompagné pour la visite du siège social et les installations de production du plus grand constructeur de robots français (toutes catégories confondues) et numéro 2 mondial dans le secteur de la plasturgie. Le site yonnais, qui s’étend sur 20 000 m2, est dédié à deux grandes activités : construction de robots et activité d’automation.

Sepro Group, ce sont 650 employés, 27 nationalités (7 nationalités sont présentes au siège de la Roche-sur-Yon), un chiffre d’affaire multiplié par 2 en 5 ans, soit 133 millions d’euros en 2018, 85 % du CA réalisé à l’export. Le groupe investit actuellement l’Asie et ambitionne de devenir le numéro 1 mondial d’ici 2022. Sepro Group a conclu de nombreux accords avec des groupes leaders du marché de la plasturgie, notamment des concurrents, mais continue de développer une électronique native.

Jean-Michel Renaudeau accorde un intérêt primordial à la formation et plaide pour la formation d’ingénieur en robotique. Ma récente visite à l’Usine Extraordinaire, du 22 au 25 novembre 2018 au Grand Palais ne fait que conforter ce besoin urgent d’orienter les jeunes vers les métiers de l’industrie. Sepro Group a ouvert sur site, en août 2018, un campus, pouvant accueillir jusqu’à 1 500 participants par an, au sein duquel sont proposés des stages de formation dispensés dans la langue de travail.

L’hybridation tant sociale que technologique est une force de la société. Sepro se reconnaît dans des valeurs comme l’audace, la simplicité, l’attention aux clients. « Sepro n’est pas une société centrée produits mais centrée clients ». Full control, la devise de la société s’entend à tous les niveaux de la relation clients, « dans l’industrie, les clients achètent de la fiabilité ».

En termes de management, Jean-Michel Renaudeau insiste sur « l’économie de la confiance qui donne accès à la connaissance », revendique la liberté de réussir et de se tromper, « tous acteurs, tous dirigeants ». Ces ingrédients se retrouvent notamment dans la notion-maison de Collaboraissance®.

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