Quel lien entre la Vendée et l’Alaska ? Le groupe familial Fleury Michon. J’ai visité cette usine installée à Chantonnay qui a passé un partenariat avec les pêcheurs d’Alaska pour, dans le respect du développement durable, s’approvisionner en poissons, base de la production du surimi. Avec ses 140 salariés, sur environ 4000 que compte le groupe, elle reçoit le poisson (colin et merlu) et le transforme en surimi avec une remarquable déontologie de production.
20 000 tonnes de surimi, sur les 40 000 mises sur le marché par l’ensemble des producteurs, sont fabriquées dans cette usine ultra moderne.

Parmi les nombreuses entreprises familiales de la région, qui participent à la success-story vendéenne, Fleury Michon est l’un des moteurs. L'entreprise axe sa croissance sur un management participatif avec

pour thème central : «aider les Hommes à mieux manger chaque jour», au travers de 5 items, les consommateurs, les clients, la communauté des salariés, la société civile et les filières.
Nous avons abordé bien évidemment les freins au développement, la qualité des produits et les rapports au sein des filières.

Ces préoccupations rejoignent les miennes, particulièrement lorsque l’on évoque le poids des charges, la stratification des réglementations et des normes, tous les carcans administratifs qui freinent les chefs d’entreprises dans l’expression de leur créativité et du développement de leurs établissements. 

(c)DR

En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation de cookies destinés à améliorer la performance de ce site et à vous proposer des services et contenus personnalisés.

X