AU SENAT
La délégation aux droits des femmes
e samedi 25 novembre, à l’occasion de la journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, la délégation aux Droits des femmes, dont je suis Présidente, a été conviée à l’Elysée par le Président de la République et Madame Brigitte Macron afin de participer au lancement de la grande cause du quinquennat pour l’égalité femme-homme.
La délégation salue l’engagement du Président de la République. Elle estime que ses annonces pour lutter contre les violences faites aux femmes vont dans le bon sens. Le projet d’amélioration pour l’accompagnement des victimes et l’amélioration de la prévention par le biais de l’éducation ont également remporté son adhésion.
Cependant, des interrogations subsistent quant aux moyens consacrés à ces objectifs, même si l’augmentation des crédits de 13% est inscrite dans le budget pour 2018 avec une sanctuarisation à l’égard du secrétariat dédié pour toute la durée du quinquennat. Ces dispositions devraient bénéficier aux associations sur lesquelles reposeront tout particulièrement l’accueil et l’orientation des femmes victimes de violences.
Le gouvernement a décidé d’ouvrir un dialogue en vue de présenter au parlement un projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles en 2018. A cet égard, j’ai été consultée, ainsi que la délégation, par Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat en charge de l’égalité homme femme, qui portera le texte aux côtés du Ministère de la Justice.
Certaines dispositions comme l’allongement du délai de prescription pour les crimes sexuels commis sur mineur.e.s seront tranchées au cours de la discussion de ce texte.
Dans cette perspective, je participe activement aux réunions organisées par le groupe de travail de la commission des lois sur les infractions sexuelles commises à l’encontre des mineurs.
Nous travaillons également en synergie avec le Haut Conseil à l’Egalité entre les hommes et les femmes.
La délégation salue l’engagement du Président de la République. Elle estime que ses annonces pour lutter contre les violences faites aux femmes vont dans le bon sens. Le projet d’amélioration pour l’accompagnement des victimes et l’amélioration de la prévention par le biais de l’éducation ont également remporté son adhésion.
Cependant, des interrogations subsistent quant aux moyens consacrés à ces objectifs, même si l’augmentation des crédits de 13% est inscrite dans le budget pour 2018 avec une sanctuarisation à l’égard du secrétariat dédié pour toute la durée du quinquennat. Ces dispositions devraient bénéficier aux associations sur lesquelles reposeront tout particulièrement l’accueil et l’orientation des femmes victimes de violences.
Le gouvernement a décidé d’ouvrir un dialogue en vue de présenter au parlement un projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles en 2018. A cet égard, j’ai été consultée, ainsi que la délégation, par Marlène Schiappa, secrétaire d’Etat en charge de l’égalité homme femme, qui portera le texte aux côtés du Ministère de la Justice.
Certaines dispositions comme l’allongement du délai de prescription pour les crimes sexuels commis sur mineur.e.s seront tranchées au cours de la discussion de ce texte.
Dans cette perspective, je participe activement aux réunions organisées par le groupe de travail de la commission des lois sur les infractions sexuelles commises à l’encontre des mineurs.
Nous travaillons également en synergie avec le Haut Conseil à l’Egalité entre les hommes et les femmes.