Alors que la SNCF s’enorgueillit du lancement des lignes LGV mettant Rennes à 1h25 et Bordeaux à 2h04 de Paris, force est de constater qu’il reste beaucoup à faire sur le réseau Grand Ouest. La Vendée ne bénéficie pas de ces réductions de temps de parcours. Lorsqu’on emprunte régulièrement la ligne vers la capitale, que de retards, de correspondances non assurées, voire d’annulations ! 
A quand la LGV Paris/Nantes ? 
Régler ces problèmes est urgent car le ferroviaire, comme la fibre optique ou le réseau routier sont les conditions indispensables au développement de notre département. 
A l’opposé des auto-satisfecits, il est regrettable que les élus et habitants de Luçon soient obligés de descendre dans la rue comme ils viennent de le faire à l’appel de l’ADSP (Association des usagers pour la Défense du Service Public du Pays de Luçon) pour une nouvelle fois, attirer l’attention sur le déclin de la desserte ferroviaire. 
Le maintien de la liaison Nantes/Bordeaux, de la gare de Luçon, le rétablissement de la double voie sont impératifs. 
La desserte des territoires est un enjeu de la revitalisation de ceux-ci, un enjeu contre la désertification. Je resterai toujours mobilisée auprès des vendéens, avec tous les élus de notre département, pour que les TER, les trains inter-cités, les trains de marchandises et tous les chantiers structurels indispensables au développement de la Vendée, puissent être inclus dans les plans de développement du territoire et puissent aboutir.

(c)DR

En poursuivant votre navigation, vous acceptez l'utilisation de cookies destinés à améliorer la performance de ce site et à vous proposer des services et contenus personnalisés.

X