A l’invitation de la FDSEA et JA de Vendée, je participe à la rencontre trimestrielle avec les parlementaires de la Vendée. Les intervenants évoquent les états généraux de l’alimentation, le CETA et ses incidences en particulier sur la filière viande. Et surtout les solutions à mettre en œuvre rapidement pour qu’enfin les agriculteurs soient rémunérés à un juste prix. 
Ma collègue Elisabeth Doineau, Sénatrice de la Mayenne, au nom du groupe Union Centriste,  a posé une question écrite au Gouvernement sur le CETA et les filières d’élevages. Elle attire son attention sur l’inquiétude des éleveurs et lui demande de clarifier sa position face au CETA et les mesures qu’il entend prendre pour garantir des normes économiques, sociales, environnementales et sanitaires en adéquation avec les demandes des filières agricoles et des consommateurs.  
Le gouvernement a fait des propositions, mais les agriculteurs marquent bien le fait que le prix est le préalable à toute négociation. Chacun doit pouvoir vivre des fruits de son travail.  
Le Président de la République a annoncé vouloir inverser la construction des prix  mais le débat est loin d’être clos.