Mardi 18 juillet, j’ai visité, en compagnie de monsieur le maire de Brétignolles-sur-Mer Frédéric Fouquet, Squid surfboards. Créée en novembre 2020 par Jimmy Boissonnot et Anthony Hervelin, l’entreprise fabrique dans son atelier de Brétignolles-sur-Mer des planches de surf éco responsables (technologies innovantes) et recyclables : matériaux bio-sourcés, matériaux recyclés et recyclables, circuits courts (< 1 000 kilomètres), réduction de l’empreinte carbone jusqu’à 50 %.

Squid surfboards souhaite s’orienter majoritairement vers les écoles de surf. Pour cela, l’entreprise a développé des modèles adaptés aux surfeurs débutants et intermédiaires. Leurs surfs 100 % made in France sont plus chers (environ 20 %) que les modèles courants importés d’Asie mais leur durabilité (garantie 2 ans) constitue une qualité valorisante. D’une manière générale, les écoles de surf revendent chaque année les surfs utilisés pendant la saison.

Chaque surf comporte un ocode, certificat numérique qui permet d’identifier les matériaux composant la planche et tracer la vie du produit. L’offre numérique est développée par la société vendéenne, basée à la Roche-sur-Yon, Ocode.

Plusieurs écoles sont intéressées par leurs produits et l’entreprise est donc contrainte de monter en capacité de production. Or, passer d’un process artisanal à un process industriel nécessite des fonds que Squid surfboards cherche à réunir. C’est pour présenter cette évolution que les dirigeants ont souhaité me rencontrer.

Avec une démarche de l’entreprise qui s’inscrit pleinement dans le projet de loi relatif à l’industrie verte, je veux croire que l’entreprise parviendra à se développer conformément à ses ambitions pour que, demain, la découverte du surf puisse se faire sur des planches vendéennes et responsables.

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