J’ai été reçue en mairie de Triaize le 13 mai par Monsieur le Maire Jean-Marie Landais, accompagné de ses adjoints Guy Barbot et Géraldine Jouin.

Une équipe satisfaite puisqu’elle a réussi à tenir son engagement à réaliser des projets sans endetter la commune, avec entre autres la salle des associations, les aménagements des entrées du bourg, ainsi que le contournement poids lourds pour sécuriser la traversée de la commune. 

D’autres projets à venir comme la création d’un espace sportif et de loisirs intergénérationnels et l’aménagement de la Grande-rue avec l’effacement des réseaux et de nouveaux trottoirs. Le projet d’un pôle seniors est également à l’étude, incluant une dizaine de petits logements avec salles communes.

Une commune retro-littorale dynamique avec des entreprises, beaucoup d’artisanat, et une urbanisation raisonnée. Néanmoins, la commune se situant en grande partie en zone rouge dans le Plan de Prévention des Risques Littoraux (PPRL), les projets peinent à aboutir. Une autre problématique a été évoquée, la transhumance des gens du voyage puisque la commune ne parvient pas à proposer d’aire de grand passage en dehors des zones protégées.

Une vie associative riche à Triaize, permettant l’organisation d’événements traditionnels comme la fête de la bouse, la fête de l’âne et du cheval.

Il a également été question de l’intercommunalité Sud Vendée Littoral ; comme avec le guichet unique permettant d’avoir une équité sur le territoire. A ce sujet, le groupe Union Centriste (UC) au Sénat a décidé de mettre en place un groupe de travail qui se réunit tous les 15 jours, afin de balayer toutes les problématiques, conséquences de la loi NOTRe, et y apporter des solutions.

Le statut de l’élu a également été abordé, une priorité pour motiver les élus à s’engager et leur assurer une sécurité. Le Sénat s’intéresse depuis longtemps au statut de l’élu local et aux conditions d’exercice des mandats locaux, comme l’illustre entre autres le rapport d’information de la délégation aux collectivités territoriales «Faciliter l’exercice des mandats locaux ». Il propose 43 recommandations pour apporter, aux élus locaux, des réponses pragmatiques, en distinguant 3 volets successifs de la vie d’élu local : l’entrée dans le mandat, l’exercice du mandat et la sortie du mandat. Le sentiment d’abandon voire de découragement des élus locaux est à l’origine du travail sénatorial avec ce rapport, pour enfin y apporter des solutions.