EN VENDÉE
Visite DIFAGRI à Saint-Hilaire-de-Loulay
Visite de l’entreprise DIFAGRI, à Saint-Hilaire-de-Loulay, en compagnie de Monsieur le Maire Daniel Rousseau, et de Monsieur Maxime Fruchet, chef de cabinet de l’intercommunalité.
Cette PME familiale est dirigée par Philippe Gauthier, épaulé par son épouse. Elle emploie 28 personnes, dont 14 en production.
Exemple typique de l’entrepreneuriat vendéen où l’humain reste au cœur de la stratégie du chef d'entreprise, pour accompagner son développement.
Spécialisée dans les compléments alimentaires pour animaux d'élevage, elle n'utilise aucun antibiotique, et compte parmi son personnel qualifié des nutritionnistes.
La démarche RSE mise en place balaye beaucoup de domaines, l'éco-pâturage, le tri sélectif, les espaces communs pour la détente et les repas, l'association des salariés pour ouvrir l'entreprise aux clients, comme sur l'extérieur.
La traçabilité et la certification sont de réelles préoccupations pour les dirigeants.
Je retrouve dans le domaine du financement de la recherche, la problématique du financement déjà évoquée par les responsables du Groupe ARMOR à La Chevrolière, au cours de mes deux jours d’immersion en entreprise.
Certes des fonds européens existent pour les entreprises françaises, mais les conditions d’accès sont souvent compliquées et il est difficile de s’y retrouver.
Cette PME familiale est dirigée par Philippe Gauthier, épaulé par son épouse. Elle emploie 28 personnes, dont 14 en production.
Exemple typique de l’entrepreneuriat vendéen où l’humain reste au cœur de la stratégie du chef d'entreprise, pour accompagner son développement.
Spécialisée dans les compléments alimentaires pour animaux d'élevage, elle n'utilise aucun antibiotique, et compte parmi son personnel qualifié des nutritionnistes.
La démarche RSE mise en place balaye beaucoup de domaines, l'éco-pâturage, le tri sélectif, les espaces communs pour la détente et les repas, l'association des salariés pour ouvrir l'entreprise aux clients, comme sur l'extérieur.
La traçabilité et la certification sont de réelles préoccupations pour les dirigeants.
Je retrouve dans le domaine du financement de la recherche, la problématique du financement déjà évoquée par les responsables du Groupe ARMOR à La Chevrolière, au cours de mes deux jours d’immersion en entreprise.
Certes des fonds européens existent pour les entreprises françaises, mais les conditions d’accès sont souvent compliquées et il est difficile de s’y retrouver.
